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Après un an et demi de bilan et de remise à plat des problématiques agricoles avec les professionnels et les institutions du territoire, le nouveau PDAD a été adopté.
A l’instar de son prédécesseur, ce document, véritable fil rouge pour le développement de la filière, aura une période d’application de 5 ans.
Installer de nouveaux agriculteurs, favoriser la consommation locale, accompagner techniquement et économiquement la profession ou encore anticiper les situations de crise sont autant de sujets présents dans le PDAD.
Le travail mené conjointement par la DTAM, la Collectivité Territoriale et la CACIMA a permis aux agriculteurs du territoire d’exprimer leurs besoins, leurs craintes et leurs attentes et de les mettre en cohérence avec les possibilités offertes par les pouvoirs publics.
Ce document, consultable ici, sera à la base des décisions que prendront les élus dans le cadre du Comité de Pilotage Agricole de l’archipel tant en termes d’orientations politiques que de choix dans le cadre des attributions de subventions.
De plus, le PDAD sera aussi pour Saint Pierre et Miquelon, le document qui légitimera le territoire quant à ses besoins de soutiens (financier et techniques) auprès, notamment, du ministère de l’Agriculture.
Avoir des orientations partagées et des objectifs clairs pour la filière permettra à Saint Pierre et Miquelon un développement agricole plus efficace et pérenne.
